Les ressources en lien avec le terme "musée de France"

L’évêché de Saint-Flour n’a été créé qu’en 1317. Dès lors, l’église du prieuré clunisien devient cathédrale et le prieur, évêque. Les évêques occupent d’abord l’ancien château de Brezons, situé près de l’église, au sud-est, et appartenant au prieuré depuis le 11^e siècle. En 1451, suite aux travaux d'édification de la cathédrale, l'évêque,... > En savoir plus

Accrochée aux remparts de la ville haute de Saint-Flour, dominant les faubourgs de la ville, la Maison Consulaire (Bâtiment où siègent les consuls, élus par les habitants pour les représenter et régler la vie administrative.) est l’un des monuments majeurs de la cité. Depuis le début du 20^e siècle, elle accueille la riche collection d’un notable local, Alfred Douët et... > En savoir plus

Une manufacture royale aux confins de l’Auvergne et du Gévaudan > En savoir plus

L’écomusée de Margeride se compose aujourd’hui de trois sites, dont la ferme de Pierre Allègre est le point de départ. Créé à l’initiative des villageois, ce musée vivant s’est développé et enrichi au fil des années. Collectes d’objets, recueil de mémoire, présentation des modes de vie, mise en valeur des savoir-faire d’hier et d’aujourd’hui, telle est la... > En savoir plus

L’Écomusée de Margeride se compose aujourd’hui de trois sites. Créé à l’initiative des villageois, ce musée vivant s’est développé et enrichi au fil des années. Collectes d’objets, recueil de mémoire, présentation des modes de vie, mise en valeur de l’histoire locale telle est la vocation de l’écomusée de Margeride. L’école du hameau de Signalauze,... > En savoir plus

Le musée Mandet, labellisé Musée de France, porte le nom de son fondateur Francisque Mandet, président de la Société du musée. > En savoir plus

L’abbaye de Mozac, site clunisien, est classée  parmi les monuments historiques depuis 1840. > En savoir plus

Demeure de l’élite urbaine, l’hôtel particulier au 18^e siècle témoigne d’un art de vivre où architecture, décor intérieur et jardin se conjuguent selon une savante alchimie. > En savoir plus

Les sites paléontologiques qui conservent des restes fossilisés sont en très grande majorité compris entre 3 millions d’années et 12 000 ans. Leur existence est très liée aux phénomènes volcaniques, et à ce titre, la Haute-Loire est un territoire très riche en fossiles. La plupart des sites ont été découverts au 19^e siècle. Celui de Chilhac est déjà signalé à la... > En savoir plus

Vienne conserve de nombreuses inscriptions chrétiennes qui témoignent de la ferveur médiévale. La plus ancienne épitaphe date du 4^e siècle. Le souhait d’être enterré « ad sanctos » (près des saints) repose sur l’idée que les reliques possèdent un caractère protecteur. Au Moyen Age, les monastères, où se déroulent des prières quotidiennes, sont des lieux de... > En savoir plus

La première communauté chrétienne de Valence se constitue au 2^e siècle de notre ère. Le premier évêque est attesté en 314. Plus tard, à l’époque romane,  Gontard, l’évêque du diocèse, souhaite un édifice digne de son rang.  Au 11^e siècle, une nouvelle cathédrale appelée Saint-Apollinaire est alors édifiée en plein cœur du quartier religieux.  > En savoir plus

Depuis la rive droite du Rhône, Vienne s’offre au regard. Au 17e siècle comme déjà durant le Moyen Age, la puissance de l’Église est bien visible. Le Rhône semble s’écouler paisiblement alors que son régime irrégulier (crues et étiage) rythme la navigation et la vie des riverains. > En savoir plus

Vienne antique est un haut lieu de l’art de la mosaïque. Plus de 200 pavements ont été mis au jour sur les deux rives du Rhône. Aujourd’hui encore ce savoir-faire est préservé à Saint-Romain-en-Gal par l’Atelier de Restauration des Mosaïques. > En savoir plus

L’héritage de Vienne antique n’est pas seulement fait de monuments tels que le théâtre ou d’objets visibles dans les musées, à l’image du Trésor d’argent (25 objets retrouvés enfouis dans le sol d’une maison antique, servant pour les repas et pour la toilette. Une grande partie des objets était regroupée dans un grand bassin) de la place Camille-Jouffray. Il est... > En savoir plus

Etienne Rey choisit un point de vue privilégié, au sud du ruisseau Saint-Marcel, pour rendre sensible la grandeur de Vienne antique. Le peintre rend compte des travaux de terrassement gigantesques entrepris pour mettre en scène les édifices publics, construits sur des terrasses qui s’étagent dans un mouvement ascendant d’ouest en est. > En savoir plus